Qui êtes-vous ?

- Maelor
- Nous sommes trois étudiantes en L3 Sciences de l'éducation à l'Institut Supérieur de Pédagogie.
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jeudi 9 avril 2009
Débat
Certains professeurs se plaignent du comportement des élèves (agitements, fatigue...)
Pourquoi ne pas réformer ce système?
Nous avons pensé à la possibilité de faire des leçons en classe le matin où les élèves sont davantage concentrés et établir des activités plus vivantes, dynamiques et pratiques l'après-midi...
jeudi 2 avril 2009
L'école actuelle

- Formation des profs : Cette réforme prévoit qu'à partir de 2010, les enseignants (professeurs des écoles et professeurs des collèges et lycées) seront recrutés au niveau du master 2 c'est à dire à Bac+5. Cette formation sera faite par les universités et non plus par les instituts de formation (IUFM et CFP).
- La scolarité dès 2 ans : La scolarisation des enfants à partir de 3 ans a été remise en cause par Xavier Darcos. Le ministre de l'Education Nationale estime que cela transformerait alors en « garderie » l'école maternelle. Il a proposé la création d'un «jardin d'éveil». A mi-chemin entre l'école et la crêche.
- La réforme concernant les Enseignants-Chercheurs : Un compromis vient d'être trouvé entre les enseignants-chercheurs et la ministre de l'enseigenement supérieur Valérie Pécresse. Ce projet de décret - qui concerne 57 000 enseignants - « recrée les conditions de confiance et apporte les garanties et protections nécessaires aux universitaires, dans le cadre de l'autonomie des établissements », affirme la ministre. Malgré tout, la méthode déplait.
- L'autonomie des universités : Le 1er janvier 2009, une vingtaine d’universités s’est jetée dans le bain de l’autonomie. Dotées de compétences élargies, ces universités gèrent désormais leur budget, leur masse salariale et leurs ressources humaines, autrement dit le recrutement de leur personnel, mais aussi la gestion de leur carrière. L’université devenue « autonome » dispose désormais d’une marge de manœuvre sur 100 % de son budget, alors que jusqu’à présent, elle ne pouvait agir que sur 25 % de celui-ci. Comme ce budget « global » inclut la gestion des emplois et la masse salariale, le volume du budget géré par chaque fac sera 2,5 à 3 fois supérieur à ce qu’il était auparavant. Pour accompagner ce changement, chaque établissement a reçu une dotation de 250 000 euros supplémentaires. Ce sujet est très polémique et effrait les étudiants qui parlent d'une "privatisation des universités" .

Pour certains, nous ne sommes plus dans une logique où l'Etat garantit la qualité mais la concurrence.
jeudi 26 mars 2009
Les mutations de l'enseignement au XX ème siècle


jeudi 19 mars 2009
L'école de Jules Ferry

jeudi 12 mars 2009
La naissance d'un véritable enseignement populaire
En 1833, la loi Guizot va permettre :
- De créer au moins une école primaire de garçons dans chaque commune
- La coexistence des écoles publiques et privées
- Une tolérance religieuse. Dès lors, on peut distinguer les écoles protestantes, catholiques et israëlites.
De plus, des Ecoles Normales sont créées. Elles forment les maîtres au niveau moral et intellectuel et les obligent à utiliser la méthode simultanée. Guizot opte pour cette méthode pour des raisons économiques.
Un corps d'inspection primaire est instauré, il gère le système scolaire.
Dans les années 1880, Jules Ferry bouleverse de nouveau le système scolaire. Il rend obligatoire et gratuit l'enseignement populaire. Il intègre les filles et laïcise les programmes. De ce fait, un nouvel enseignement se substitue à l'enseignement religieux. L'éducation morale et civique apparaît, la religion devient une affaire privée.
Une nouvelle lutte entre l'Etat et l'Eglise éclate, on distingue les partisants d'un enseignement religieux qui vont dans le privé et les partisants d'un enseignement civique qui se rendent dans le public.
L'enseignement à partir de la Révolution


jeudi 5 mars 2009
La politique scolaire à l'époque de la Modernité

La fin du règne de François Ier est marqué par les premiers affrontements entre les Catholiques et les Protestants sur le terrain de l'enseignement. Ceci est le moteur de l'évolution dans le domaine éducatif. Le Concile de Trente, pour s'opposer à la Réforme, décide de créer une petite école dans chaque église dont le maître sera choisi par l'évêque et enseignera gratuitement aux enfants pauvres la lecture, l'écriture, la grammaire, le chant et le calcul.

Pour conclure, la politique scolaire de la Renaissance et de l'Ancien Régime est un système hétérogène, stimulé par les guerres de religion, des initiatives privées, des migrations d'acteurs de l'enseignement ou encore par un timide engagement royal.
Petit à petit, le domaine scolaire va s'homogénéiser et tomber dans les mains de l'Etat.
jeudi 19 février 2009
La création des universités au XI ème & XII ème siècle

Scriptorium: situé dans les cathédrales. C'est le lieu où les moines se retrouvaient pour recopier les livres des Anciens. Les maîtres utilisaient ces livres pour faire leurs cours.
Exemple de Paris :
- Appartennance commune à l'Eglise
- Utilisation commune de la langue latine
A la fin du XV ème siècle, la plupart des universités se retrouvent placées sous l'autorité du pouvoir royal. A la même époque, se déroule le Grand Schisme qui refuse l'autorité du Pape. En conséquence, l'Université Française ne peut plus compter sur les faveurs pontificales. S'en suit alors un long processus de décadence, accentué par l'essor de nouveaux types d'établissements. De ce fait, sous la Révolution Française, les Universités seront abolies.